Himalaya...

Trek au Dolpo - Dho Tarap & Lac de Phoksundo

Le Pays caché

Voyage effectué durant l'été 1999

Cliquez sur les images pour les agrandir (1152*768 - de 150 à 300Ko)

Enfants sur un toit près de l'aérodrome de Juphal A Dunaï se trouvent les rares lodges et boutiques que vous trouverez sur ce trek

L'appel aux porteurs se révèlera donc quasiment obligatoire - mais mieux vaut les prendre à Kathmandou, il s'en trouvent très peu au Dolpo.

Rapidement, le bas-Dolpo se révèle une terre encore hors de l'influence occidentale.
Ici des femmes essorent des couvertures en riant.
Le village de Tharakot est situé à une journée de marche de Dunaï. En fait, ses différents hameaux méritent bien une journée de visite complète...

Les hommes s'y échinent aux travaux des champs (quoi qu'ici, il s'agit de l'un de nos sherpas :-)
et une femme nous a très agréablement accueilli pour partager son (et notre) repas. Ici, elle prépare du pop-corn pour accompagner le thé rance au beurre de Yack, qu'elle prépare dans une baratte.

Après trois jours de marche dans des gorges profondes et inhabitées, commence le 'Haut-BasDolpo' Une Dolpa promène son enfant sur son dos le long de la Tarap Khola.

Dho Tarap désigne un ensemble de hameaux situés dans une vallée reculée, à 4000m d'altitude. Ici, seuls poussent orge et rares pomme de terre, mais de nombreux enfants n'en occupent pas moins la vallée.

Dho Tarap est donc équipé d'une très belle école bien équipée (4 ou 5 professeurs), financée en partie par des programmes occidentaux.
Ces 4 enfants nous ont raccompagné de leur école devant chez eux.

Région très pieuse, historiquement voie de communication entre le Tibet et l'Inde, de nombreux chortens, ghompas, drapeaux à prière jalonnent le trek. Ici, des peintures à l'intérieur d'un chorten.
Le Dolpo est toutefois resté sous l'influence du Bön, religion chamaniste précurseur du bouddhisme: attention, ici, les monuments se croisent à DROITE !!!

Passés deux cols à 5200m, un sentier à flanc de falaise nous conduit au lac de Phoksundo, aux couleurs splendides et variées. malheureusement, il est impossible de s'y baigner et même d'en faire le tour : au delà commence le Haut-Dolpo, soumis à une tarification spéciale (~70$/jour !).
Vous pourrez toutefois rejoindre l'ancien monastère Bön qui le borde, occupé encore de nos jours par un vieux moine.
Il est à craindre hélas qu'il ne soit deserté une fois celui-ci décédé.

L'intérieur du monastère, où le vieux moine vous invitera certaienement...

Vous prenez un risque en visitant le Dolpo en aôut : celui d'être soumis au début de la mousson, qui monte le niveau des rivières très rapidement, et peut facilement rendre les sentiers impraticables... Les rivières y charrient alors boue et végétaux, et se colorent de la terre qu'elles ont creusés...

Retour à la civilisation - enfin, presque : Atterissage et décollage à l'aérodrome de Juphal sont assez périlleux...
Mais le pilote assure drôlement ! Retour sans encombres à Kathmandou, où la vie vous paraitra grouillante.

	Enfants sur un toit près de l'aérodrome de Juphal		A Dunaï se trouvent les rares lodges et boutiques que vous trouverez sur ce trek
L'appel aux porteurs se révèlera donc quasiment obligatoire - mais mieux vaut les prendre à Kathmandou, il s'en trouvent très peu au Dolpo.
	Rapidement, le bas-Dolpo se révèle une terre encore hors de l'influence occidentale. Ici des femmes essorent des couvertures en riant.		Le village de Tharakot est situé à une journée de marche de Dunaï. En fait, ses différents hameaux méritent bien une journée de visite complète...
Les hommes s'y échinent aux travaux des champs (quoi qu'ici, il s'agit de l'un de nos sherpas :-)		et une femme nous a très agréablement accueilli pour partager son (et notre) repas. Ici, elle prépare du pop-corn pour accompagner le thé rance au beurre de Yack, qu'elle prépare dans une baratte.
	Après trois jours de marche dans des gorges profondes et inhabitées, commence le 'Haut-BasDolpo'		Une Dolpa promène son enfant sur son dos le long de la Tarap Khola.
Dho Tarap désigne un ensemble de hameaux situés dans une vallée reculée, à 4000m d'altitude. Ici, seuls poussent orge et rares pomme de terre, mais de nombreux enfants n'en occupent pas moins la vallée.		Dho Tarap est donc équipé d'une très belle école bien équipée (4 ou 5 professeurs), financée en partie par des programmes occidentaux. Ces 4 enfants nous ont raccompagné de leur école devant chez eux.
	Région très pieuse, historiquement voie de communication entre le Tibet et l'Inde, de nombreux chortens, ghompas, drapeaux à prière jalonnent le trek. Ici, des peintures à l'intérieur d'un chorten.		Le Dolpo est toutefois resté sous l'influence du Bön, religion chamaniste précurseur du bouddhisme: attention, ici, les monuments se croisent à DROITE !!!
Passés deux cols à 5200m, un sentier à flanc de falaise nous conduit au lac de Phoksundo, aux couleurs splendides et variées. malheureusement, il est impossible de s'y baigner et même d'en faire le tour : au delà commence le Haut-Dolpo, soumis à une tarification spéciale (~70$/jour !).		Vous pourrez toutefois rejoindre l'ancien monastère Bön qui le borde, occupé encore de nos jours par un vieux moine. Il est à craindre hélas qu'il ne soit deserté une fois celui-ci décédé.
		L'intérieur du monastère, où le vieux moine vous invitera certaienement...

	Vous prenez un risque en visitant le Dolpo en aôut : celui d'être soumis au début de la mousson, qui monte le niveau des rivières très rapidement, et peut facilement rendre les sentiers impraticables...		Les rivières y charrient alors boue et végétaux, et se colorent de la terre qu'elles ont creusés...
Retour à la civilisation - enfin, presque : Atterissage et décollage à l'aérodrome de Juphal sont assez périlleux...		Mais le pilote assure drôlement ! Retour sans encombres à Kathmandou, où la vie vous paraitra grouillante.